NOM ϟ Oxburry PRÉNOM(S) ϟ Lennon, comme John Lennon vous vous dites? ouais mon père était à fond beatles.. à fond musique en fait, mais John c'est son Dieu. Enfin c'était, le pauvre il est mort... Keith, Keith, comme Keith Richards? et là vous vous dites "mais qu'est-ce qu'ils ont ses parents avec les prénoms de célébrités?!" et bien oui, ma mère elle était fan des rolling stones. Beau mélange n'est-ce pas? ÂGE ϟ vingt-cinq ans, mais apparemment, je fais plus jeune... DATE DE NAISSANCE ϟ le treize janvier, 1986. LIEU DE NAISSANCE ϟ Southampton, comté d'Hampshire, (EN). L'Angleterre, quoi de plus beau franchement? Et cette ville... Merveilleuse, vraiment. ÉTUDES/MÉTIER ϟ étudiant en littérature et guitariste. STATUT SOCIAL ϟ célibataire, intéressé? AVATAR ϟ Mathias Lauridsen . CRÉDIT ϟ mathiaslauridsen, tumblr.

EXTRAVERTI ❀ IMPULSIF ❀ ROMANTIQUE ❀ JALOUX ❀ RÉFLÉCHI ❀ TÊTU

➥ c'est un gars qui prend soin de lui, et oui il n'est pas narcissique mais il fait tout pour plaire, pour être beau et frais! il possède d'ailleurs des colliers et montre le plus possible son torse, son meilleur atout.
➥ il doit obligatoirement jouer de la guitare au minimum une heure par jour, puisque pour lui c'est essentiel la musique, que sans ça, c'est toute son âme qui se détruit.
➥ tous les samedis matins il fait un footing, prendre soin de lui oui, garder la pêche, c'est essentiel pour la bonne humeur !
➥ il est végétarien, c'est mal de tuer des petits animaux sans défense!
➥ il a un tatouage dans la nuque, inscrit "neverfail" en arc de cercle.
➥ il n'a jamais eu de petite amie, seulement des coups d'un soir il y a longtemps... mais maintenant il souhaite connaitre l'amour.. mignon n'est-ce pas?
➥ il écrit beaucoup de chansons, de texte, mais ne les montre à personne.
➥ il est accro au café, toute sorte de café fort pour le réveiller et le mettre en forme à n'importe quelle heure. Presque mieux que la drogue !
➥ il fume souvent, quand il est stressé ou qu'il sens que quelque chose l'énerve, au lieu de se battre ce remède le calme plus vite.
➥ tous les soirs il regarde les voitures de sports sur internet, il rêve un jour de devenir une rockstar pour pouvoir s'en offrir une.. c'est beau de rêver !

PSEUDO ϟ FAKE! PRÉNOM(S) ϟ Marinette ÂGE ϟ 15yo. FUSEAU HORAIRE ϟ France :face:. OU AS TU TROUVE LE FORUM ϟ bazzart . PRÉSENCE ϟ 5/7j. TON AVIS ϟ une merveille, comme toujours . CRÉDIT ϟ mathiaslauridsen, tumblr.

J'aurais pu tout simplement arrêter ma vie plus tôt. J'aurais pu tout cesser du jour au lendemain, prétendant sur une lettre, que je n'avais plus la force, que je ne voyais pas en quoi et pourquoi j'aurais dû continuer ma vie. C'est vrai ça. Est-ce que chacun de nous sait réellement pour quelles raisons il veut vivre ? Ne pas perdre ses amis, sa famille ? Oui mais, une vie, c'est banal après tout, non ? Je n'avais pas trouvé l'amour non plus alors je ne voulais pas rester une minute de plus ici, pas une. Mais quelque chose. Quelque chose a fait basculer ma vie. Cette chose.. Cette chose est indescriptible. C'est une chose connue de tous, mais interpréter singulièrement. Elle m'a sauvé. Elle m'a redonné tout le courage et la joie de vivre qui m'avait tant manqué jusque là. Certains penseront sûrement que je mens. Certains penseront sûrement que j'avais simplement envie de mourir pour me rendre intéressant et que j'ai trouvé cette magnifique chose en solution pour ne pas dire qu'en fait, je m'étais dégonflé ? Croyez-ce que vous voulez. Croyez tout, tout. Moi je sais et je saurais toujours que j'ai été sauvé par la plus belle chose au monde.

« LENNNNNOOOOOON! Qu'est-ce que t'as encore fais à Brenda ?! »
« Oh ! T'as vu comme elle est stylé comme ça ! On voit... Sa vraie nature je trouve. Ça lui va beaucoup mieux ! »
« MAMAANNN ! »

Moi je riais là, mais elle, elle pleurait. Ce n'est pas bien de rire du malheur des autres comme disait le dicton. Mais franchement... Là.. Impossible de s'en empêcher. Dans sa petite main, Brenda. Ancienne blonde à forte poitrine, souriante, dévoilant des dents blanches, derrière ses lèvres rouges pétantes. Autrefois habillé en vêtement rose, orange, violet ou multicolore joyeuse. Brenda avait la joie de vivre. Elle faisait hôtesse de l'air dans un avion rose appeler Barbie Air. Brenda était une bombe blonde. Le fantasme même du masculin. Le fantasme même de Ken, ce surfer bronzé aux dents aussi blanches que notre chère Brenda. Mais après le tourbillon Oxburry mâle, Brenda s'appelait maintenant Carrie. Ses cheveux était noir, avec des mèches rouges. Rouge sang. Ses lèvres aussi étaient noires et ses yeux laissaient voir que son maquillage noir avait coulé, ses dents étaient encore blanches par contre.. Oui Carrie était une belle fille. Vêtue d'un pantalon en cuir noir déchiré, un haut large noir et des piercings de partout. Des bottes aussi. Elle était dans la rue, vendait de la coke. Elle ne faisait plus les trottoir la pauvre, plus personne ne voulait d'elle. Pourtant, sa vraie nature était comme ça, sa vraie nature, ce n'était pas de faire sa pute, c'était d'être une Barbie à problème, une Barbie qui aurait eu envie de faire plaisir à des gens d'une façon ou d'une autre quand même, mais qui avait besoin d'argent.. Dommage qu'elle ne cessait de sourire. C'est après cet épisode de transformation de Brenda que j'ai eu envie d'avoir des Barbie pour leur donner des images pas aussi joyeuse que ma soeur pouvait leur donner. Et dire que je n'avais que sept ans.. Précoce, je l'étais vraiment.

Pourtant, je me rappelle qu'à l'école, je n'étais pas aussi précoce... J'avais des mauvaises notes, partout. Je ne voulais pas apprendre une chose trop logique, une chose dictée. Je voulais que les choses soient telles que les gens pouvaient les penser. Pas comme un livre le disait. Alors, j'ai quitté l'école. Les professeurs croyaient que j'avais un QI trop bas pour continuer dans leur école. En fait, c'était le contraire. Enfin après plein de test c'est-ce qu'on en a conclu.. Génial, génial oui. Traité comme un animal c'est vraiment très agréable.

A cause d'eux j'ai perdu beaucoup de mes amis. J'ai perdus mes amis parce qu'ils pensaient que c'était une blague, il pensait que je mentais pour me l'a péter. J'en ai gardé quelques-uns évidemment.. Mais je ne pouvais jamais les voir. C'était trop dur avec mes horaires. Mes parents, eux, avaient comme seul but de gagner de l'argent avec tout ça. De me vendre en fait. Il voulait que je leur rapporte des sous, pour qu'ils deviennent riches. Et c'est-ce qu'ils sont devenus. Sauf qu'eux, ils étaient bien prétentieux avec ça. Moi, j'étais encore un petit gamin innocent, naïf, qui comprenait les choses, mais ne voulait rien dire pour pas déranger. Et oui, je n'avais que neuf ans à cette époque, comment j'aurais pu contester, comment on aurait pu écouter l'être humain et non la facette de monstre que beaucoup de gens venaient admirer. J'avais aucune maladie, juste un très gros QI. Je répondais d'ailleurs à des questions imbéciles pour le prouver. Du genre la racine de 958 ou des trucs dans le genre. Que jamais quelqu'un de mon âge n'aurait pu comprendre ou savoir. Mais passons.. Les tests ont duré plus de trois ans. Ensuite, j'étais enfin libre. Libre à partir de la quatrième, quatrième que je ne voulais pas toujours faire. Pour vous dire je n'ai eu que le lycée comme lieu d'apprentissage et ce n'était pas trop mal. Plus intéressant, plus cherché, les gens comprenaient ce que je souhaitais, je les en remercierais toujours d'ailleurs. J'ai donc obtenus mon bac par la suite, mention bien. C'était déjà pas mal. Et honnêtement, je n'aurais jamais souhaité avoir plus. Je tenais aux relations que je m'étais faites. Je tenais à cette petite vie fragile que je m'étais créée après tout ce temps de gâché à ne voir personne. Remarquez.. J'avais eu le temps de me poser toutes les questions qu'on peut se poser en général. De l'histoire du chaperon rouge, à la recette des muffins, aux moyens de contraceptions les plus efficaces, sans oublier tous les films de Steven Spielberg et oui, j'avais toujours été curieux de nature.

J'avais toujours été plus ou moins proche des gens. J'aimais faire connaissance, mais en général, les connaissances ne voulaient pas vraiment plus me connaître. Un gars qui était de plus en plus déprimé de jour en jour, un gars de plus en plus barber par la vie. Un gars qui fumait, qui revendait de la drogue, comme la poupée Carrie. Un gars qui devenait de plus en plus maigre.. Un gars qui est devenu malade de la vie. Un gars qui manquait d'une famille, un gars comme ça, ouais. Pourtant, ce gars, il savait qu'il attirait les filles, par son mystère, par son caractère pas comme les autres.. En soirée il se faisait souvent dragué. Il avait déjà fait l'amour avec l'une d'entre elle, pour une seule nuit, ou pour deux, mais pas plus. Il cherchait par tous les moyens quelque chose. Oui, j'étais ce garçon. Je n'ai pas eu un caractère de rêve c'est le moins que l'on puisse dire. Je me demandais et me demanderais toujours comment les filles pouvaient, enfin, certaines filles du moins, s'intéresser à moi.

J'ai découvert pourquoi plus tard. J'étais « le bon coup ténébreux » Sympa le surnom n'est-ce pas ? Par la suite j'ai arrêté de faire des coups d'un soir. Enfin... J'ai essayé comme je pouvais, parce que l'alcool, j'en buvais et beaucoup. Et ça ne me réussissait pas. Ça ne me réussissait tellement pas que j'ai sauté une étape. Je me suis toujours demandé à quoi ça servait de vivre.. C'est vrai quoi ? A quoi ça peut bien servir ? Alors, j'ai voulu me suicider. Sans passer par la case « taillage de veine, overdose de médicaments ou encore d'alcools » j'y suis allé direct. Je suis monté, sur l'un des immeubles les plus hauts de la ville de Southampton. J'avais au préalable écris une lettre. Que j'avais envoyé à ma soeur, qui vivait désormais loin d'ici. En Australie pour tout dire. C'était la seule personne à qui je tenais vraiment et dont j'avais été proche dans ma famille. Alors, je me devais de la remercier. Il était à peine minuit. J'étais sur le toit de ce fameux immeuble. Ce soir-là, l'air était doux. C'était bientôt l'été d'ailleurs. La ville était illuminée de tous les côtés. Les voitures se faisaient un peu moins nombreuse qu'en journée, mais tout de même, il y avait de la circulation. Tant mieux non ? J'en savais trop rien.. C'était mon premier suicide après tout. Du moins ma première tentative, la dernière aussi ? Cela non plus, j'en savais trop rien. C'est après avoir réfléchi cinq minutes que je montais sur le rebord du toit. Les bras le long du corps. J'avais fermé les yeux une fois stable sur mes pieds. Je sentais l'air frais me passer dans les cheveux et sur le visage. C'était agréable cette sensation.. Au moins, j'aurais fini sur un bon ressentiment ! Enfin bref.. Je n'allais pas non plus trouver des bons côtés à la mort. Passons. J'avais ensuite ouvert un oeil, pour regarder en dessous. J'avais un vertige fou.. C'est là que je m'en rendais compte. Mon coeur s'emballa. Il s'emballa terriblement d'ailleurs, mais, rien ne se réussit sans un coup de stress après tout. Je respirais vite, bien trop vite sans doute. J'avais l'impression que le sol s'éloignait à chaque minute, à chaque seconde même. Je me mordis intérieurement la lèvre. Non, aller, il fallait que je le fasse. Un suicide réussi c'était mieux qu'un suicide raté tout de même.. Ça faisait moins mal.

Malheureusement, une chose que je n'avais pas prévu arriva. La lumière de ce building avait sans doute du m'éclairer un peu trop, car j'entendais un bruit lointain. Un cri.. Un cri ou même des cris. Les voitures s'arrêtaient en dessous du building. Les gens criaient. Je crus percevoir un « descend !! » mais je devais me concentrer. Ils n'allaient pas me faire changer d'avis. Ce n'est pas maintenant que j'allais changer d'avis. Je fermais les yeux, une nouvelle fois. Respirant, ou plutôt inspirant profondément le maximum d'air. Allez, il fallait que je saute, il le fallait. C'était l'heure maintenant ! C'était vraiment l'heure. Mais..



Alors que je m'apprêtais à sauter, où à me pencher un peu plus du moins, un son parvint alors à mes oreilles. Cette fois ce n'était pas un cri, c'était un son plus mélodieux.. Un son qui sonnait juste. Qui ne criait pas. Un son contrôlé, un son puis une voix.. Je mis énormément de temps à me rendre compte qu'il s'agissait là d'une musique. Qui venait de la fenêtre ouverte d'un des derniers appartement. De l'immeuble. Je n'avais.. Jamais, jamais de ma vie, écouté de musique. Écouté de la vraie musique, de la vraie musique comme celle-ci, jamais. Alors, je restais là, n'écoutant plus que cette mélodie. Cette mélodie salvatrice. Je fermais les yeux, encore une fois, pour profiter de ce moment intense qui, je le savais, chamboulerait à jamais ma vie. Une chose aussi magnifique pouvait donc exister ? Elle aurait suffi à me réveiller. A me donner le courage qui me manquait, à m'aider, à aimer, à vivre tout simplement. C'est-ce qu'elle a fait en fin de compte. Elle m'a rendu la vie. Elle m'a sauvé et en plus de ça, m'a complètement chamboulé. Je n'en croyais pas mes oreilles. J'étais abasourdis par ça, voilà. Mais soudain, une voix me fis sursauter.

« Jeune homme, descend s'il te plait. C'est très dangereux d'être ici. »

C'était déjà un pompier. Ou la police, je n'avais pas bien vu. J'entendais juste à peine les sirènes c'est pour ça. Je détournais la tête vers lui, la bouche entrouverte, puis je la retournais pour me concentrer une nouvelle fois sur cette musique.

« Il faut vraiment partir maintenant ! Tiens, prend ma main. »

J'en avais rien à foutre de sa main. Je me serais jeté dans le vide pour la musique, alors je l'écoutais jusqu'au bout ; en espérant qu'il n'y en ai pas d'ailleurs.. Mais je ne pus continuer. Des bras s'enroulèrent autour de mon corps. Je mis encore une fois du temps à réagir. Ce n'est qu'une fois les pieds sur le sol que je me suis mis à courir vers le rebord du toit et à me pencher, bien que je ne risques plus rien, étant donné que seul une partie de mon buste dépassait du rebord. Je me mis ensuite à crier.

« Non ! Non ! Laissez-moi ! Laissez-moi avec elle, NON ! Taisez vous, laissez-moi ! »

Mais après cette phrase. Ou plutôt ces malheureux mots, on me prit pour un fou. Je me réveillais ensuite dans un lit d'hôpital, des tuyaux, plein les bras et le nez.

J'avais tout arraché, on me prenait pour un fou ? On me prenait pour qui ? Là, c'était abusé. J'avais refusé de me suicider grâce à cette musique et on me l'enlève pour me placer en hôpital ? Mais, quelle connerie ! J'enlevais donc tous ces tuyaux et me dévêtit. Autrement dit, j'étais en sous-vêtement. Je quittais ma chambre, rejoignant l'ascenseur, sans habits, plus furieux que jamais. Je rentrais, je rentrais chez moi et j'avais décidé de partir, le lendemain. Loin, très loin. Il fallait que je quitte cette ville de fous, au plus vite.

" Tout va bien, je suis partie de chez moi, arrivée dans une ville sympa appelée Stone Harbor, ne t'inquiètes pas, je t'embrasse." Un e-mail, quelque jour plus tard de cet évènement. Un e-mail de Zorah, de ma Zorah. Elle représentait tout pour moi et elle me sauvait la vie. Sans hésiter, je partais pour Stone Harbor. Je me reconstruirais, je poursuivrais peut-être même des études, qui sait.. Mais surtout, je ferais de la musique, jusqu'à la fin de ma vie. Quittes à faire la manche pendant des années pour me payer une guitare, ou d'autres choses.. J'avais hâte, de commencer cette nouvelle vie, oubliant le passé. Vivant, simplement.