NOM ϟ Tribiani. PRÉNOM(S) ϟ Stefan, Andrew. ÂGE ϟ Vingt-deux ans. DATE DE NAISSANCE ϟ 16 juin 1989. LIEU DE NAISSANCE ϟ Miami. ÉTUDES/MÉTIER ϟ Agent de sécurité dans un hôtel d'une grande ville proche de Stone Harbor. STATUT SOCIAL ϟ encouple, mais infidèle. AVATAR ϟ mark salling :heart:. CRÉDIT ϟ arya.

Posé ❀ Bagarreur ❀ Protecteur ❀ Immature ❀ Charismatique ❀ Infidèle

→ Je n’ai pas de mère.
Ma génitrice est morte dans un accident de voiture peu de temps après ma naissance. Ce que je ne sais pas, c’est que c’est un pur mensonge de mon père. Ma mère est en fait une droguée quelque part à Miami.
→ Je suis un ancien footballeur US
Au lycée, je faisais partie de l’équipe de football américain et j’avais un avenir prometteur devant moi. Seulement, je me suis blessé au genou et les médecins ont été formels, je ne pouvais plus faire de football. J’ai donc perdu la bourse que j’avais eu tant de mal à obtenir. Je voulais devenir joueur professionnel, mais après cette blessure, j’ai perdu toute ambition. Je suis maintenant agent de sécurité dans une boîte de nuit, parce qu’il me fallait rapidement un métier pour payer mes factures.
→ J’ai une fille.
Lors de ma dernière année de lycée, mon ex m’a annoncé qu’elle était enceinte de moi. J’étais toujours amoureux d’elle et je n’ai pas hésité une seconde pour assumer la paternité de cet enfant. Et par là, j’espérais aussi qu’elle me reprenne, mais non. Nous sommes toujours séparés bien que nous nous parlons pour le bien de notre fille qui a désormais quatre ans.
→ J’aime les serpents.
J’ai une passion infondée pour les reptiles, plus particulièrement les serpents. J’ai toujours voulu en avoir, mais ma sœur avait bien trop peur et elle a supplié mon père pour qu’il n’accepte pas. Evidemment, il a refusé que j’ai un serpent. Maintenant que je vis dans mon appartement, j’aurais pu en avoir un, mais ça coûte cher et je n’ai pas assez d’argent.
→ Je fume.
Quand je suis entré au lycée, je n’avais pas de très bonnes fréquentations et j’ai déjà fumé de la drogue, mais j’ai vite arrêté. Par contre, je n’ai pas arrêté le tabac. Cependant, je ne bois de l’alcool que très rarement. Je n’aime pas la sensation que ça me fait. Mais je l’avoue, quand ma sœur m’a laissée, je me suis pris une grosse cuite.
→ J’ai failli faire de la télé-réalité.
Pour un pari, je m’étais inscrit pour faire partie du casting d’une grande émission de télé-réalité. Seulement, je n’étais pas majeur et j’avais besoin de l’accord de mon responsable légal… qui a refusé.
→ Je suis rancunier et fier.
Je veux dire par là, que je ne m’excuse que si je n’en ai pas le choix et que j’ai vraiment du mal à pardonner ceux qui me font du mal. Donc autant vous le dire tout de suite, Willow aura du mal à se faire pardonner, même si elle est ma sœur jumelle. Pas de favoritisme, même si elle me manque énormément.
→ Au lycée, on m’appelé Bones.
En effet, j’ai toujours eu la manie de faire craquer mes os, tout particulièrement les os de mes doigts.
→ Je stresse facilement.
Je suis facilement stressé, mais je m’efforce de ne pas le montrer. Du coup, tout le monde pense que je suis quelqu’un de très calme. Pourtant, quand on remarque bien dès que je fais craquer les os de mes doigts, c’est que je suis stressé.
→ Tous mes sentiments s’affichent sur mon visage.
On dit souvent qu’on lit en moi comme dans un livre ouvert. Je relève mon sourcil gauche quand je ne comprends pas ce qu’il se passe et je relève le droit quand je veux dire « te fous pas de moi ».

PSEUDO ϟ grazyliviah PRÉNOM(S) ϟ olivia. ÂGE ϟ dix-huit dans six jour (a). FUSEAU HORAIRE ϟ France. OU AS TU TROUVE LE FORUM ϟ sur bazzart, je crois, mais je traîne ici depuis tellement de jours que je ne sais plus. PRÉSENCE ϟ 4 à 5/7j. TON AVIS ϟ Je ne suis pas trop fan du design, mais le forum a l'air vraiment très bien, tout plein de charme et tout (a). CRÉDIT ϟ arya.

Un beau jour de juin (le seize, plus précisément) de l’année mille neuf cent quatre-vingt-neuf dans un hôpital public de Miami en Floride, on pouvait entendre une jeune femme crier, hurler même. Cette jeune américaine qui n’est d’habitude pas vraiment douillette, n’arrivait pas à supporter la douleur qu’elle ressentait dans son bas-ventre, malgré la péridurale. Il faut dire que c’est assez douloureux de mettre au monde deux enfants. Oui, car vous l’aurez compris, cette femme est en train d’accoucher et ce sont des jumeaux. Durant la grossesse, elle n’avait pas voulu savoir quel serait le sexe des bébés, elle savait seulement que ce serait des faux jumeaux, mais ça pouvait être des petites filles, des petits garçons ou un garçon et une fille. Dans tous les cas, elle et son mari, avaient déjà décidé des prénoms qu’ils donneraient à leurs enfants. Quelques minutes plus tard, le ton était donné, le tout était fixé. C’était une fille et un garçon. Willow Cokaïne et Stefan Andrew Tribiani. Je suis Stefan Andrew Tribiani, mais vous pouvez m’appeler Stefan.
J’ai toujours voulu savoir pourquoi j’avais des prénoms dits « normaux » alors que ma sœur jumelle avait hérité d’un Cokaïne, prénom que j’ai toujours trouvé assez cool, et mon père m’a toujours répondu que c’était un prénom que ma mère biologique avait entendu dans une série et elle avait flashé dessus. Mon père n’a jamais su très bien mentir, mais je l’ai cru. Je l’ai cru parce qu’il me racontait enfin quelque chose sur ma mère et il ne le faisait pas souvent. Je le comprends, ce doit être dur de perdre sa femme dans un accident de voiture alors qu’elle a accouché de deux merveilleux bébés quelques mois auparavant. D’ailleurs, c’est comme ça que nous sommes passés de Miami à Stone Harbor, un an après notre naissance.

« Stefan ! Tu vas où ? » Nous voilà quinze ans plus tard, à la sortie du lycée. Ma sœur venait de m’interpeler quand elle a vu que je ne partais pas dans la direction de la maison. « Je ne rentre pas tout de suite. » Elle posa ses mains sur ses hanches, comme elle le faisait quand je disais ou faisais quelque chose qui ne lui plaisait pas. « Pourquoi ? » Et voilà qu’elle était suspicieuse et je savais très bien pourquoi. Depuis que nous étions rentrés au lycée, je traînais avec des gens qu’elle n’appréciait pas vraiment. « Parce que je sors. » J’avais été froid sur ma dernière réplique et je le regrettais immédiatement. Je n’aimais pas parler de la sorte à ma sœur mais je n’aimais pas non plus quand elle se mettait à critiquer mes fréquentations. Dans ces moments-là, elle se mettait à parler comme notre père et je détestais ça. Déjà que je ne rentre pas pour ne pas avoir à lui parler, vu qu’il me tape sur le système en ce moment, je n’ai pas envie que Willow devienne comme lui. « Ecoute Ju’, je ne ferais pas de conneries, promis. Je ne rentre pas tard et on passera la soirée ensemble, si tu veux. » Elle soupira et au moment où mes lèvres se posaient sur sa joue, j’ai compris qu’elle ne m’en voulait pas. Je lui fis un grand sourire et m’en allais rejoindre ma bande d’amis plus loin.

…

J’étais dans un couloir du lycée avec ma sœur. Nous parlions d’un cours que je n’avais pas très bien compris et elle se moquait gentiment de moi. Je ne suis pas très intéressé par les cours d’habitude, mais nous étions dans notre dernière année et j’avais bien l’intention d’obtenir mes examens, même si je ne comptais pas aller à la fac. Après tout, j’ai eu une bourse sportive, mais à cause de ma blessure, je l’ai perdue. Ça ne sert plus à rien d’aller à la fac si je ne peux plus faire le sport que j’aime. « Il faut qu’on parle, Stefan, c’est important. Tu peux venir, s’il te plaît ? » Une jeune fille, très belle, était venu interrompre ma conversation avec ma jumelle. Je l’identifiais rapidement puisqu’il s’agissait de mon ex. Cela faisait à peine une semaine que nous avions rompu et même si je ne le montrais pas, cela m’affectais vraiment. Nous avions rompu parce que je l’avais trompé, comme le gros con que je suis. A vrai dire, je suis vraiment amoureux d’elle, mais je suis comme ça, je n’arrive pas à être fidèle, je ne sais pas résister à la tentation. Elle l’avait découvert et avait décidé que nous n’avions plus rien à nous dire. « Tu peux tout dire devant Willow, tu le sais. » C’est vrai, quoi. Je ne cachais rien à ma sœur alors autant parler devant elle, directement. Cependant, vu le regard qu’elle me lançait, mon ex n’avait pas l’air de mon avis. Ça devait être vraiment important, alors je la suivais en lançant un clin d’œil à ma jumelle. « Qu’est-ce qu’il se passe ? » A peine ai-je terminé de dire ça, elle se met à pleurer. Merde, qu’est-ce que je fais ? Je la prends dans mes bras, c’est le seul réflexe que j’ai. « Stefan, je… Je suis enceinte. »

…

« Je suis désolée, il faut que je parte, je ne sais pas quand je reviendrais, mais saches que je t’aime Ju’ »

Voilà le mot que je trouvais sur le miroir de la salle de bain un matin, alors que je venais de réveiller. Ma sœur venait de quitter la ville et la seule chose qu’elle m’avait laissé, c’était un post-it. Pas d’explications, pas d’au revoir. Notre relation se résumait-elle à ça pour elle ? A un post-it ? Putain. Je lui ai envoyé quelques messages, pensant qu’elle allait me répondre et m’expliquer pourquoi je n’avais eu droit qu’à un post-it, mais non, rien. Aucune réponse. J’ai pourtant demandé à mon père mais il refuse de me dire, il me dit que ça ne me regarde pas. Déjà que nous ne nous entendions pas très bien, notre relation s’est encore plus dégradée depuis. Et puis, il n’accepte pas que j’ai eu un enfant sans être marié, ni même en couple avec la mère de cet enfant. Ça ne le regarde pas. Quoiqu’il en soit, il y avait bien trop de disputes dans cette maison et j’ai décidé de prendre mon propre appartement dans lequel j’accueille ma fille quand je la garde.

Il y a à peu près un mois, mon père m’a appelé, me disant que ma sœur était revenue en ville et que je devrais aller la voir. Il se fout de moi ? Elle se barre pendant un an et quand elle revient, je dois lui réserver un accueil digne de Kate et William ? Il est hors de question que j’accepte de la revoir. Elle a voulu couper les ponts, et bien, ils sont coupés. Je dois avouer que ça m’a surpris quand j’ai appris qu’elle était revenue, puis j’ai compris que ça devait avoir un rapport avec notre cousin. Il a tué sa petite amie et s’est suicidé juste après, devant tout le monde. Je m’entendais bien avec mon cousin, enfin, nous étions cousins, rien de plus. Mais je lui en veux. Je lui en veux d’avoir mis fin à sa vie, d’avoir été lâche. Mais surtout, je lui en veux d’avoir tiré devant la foule, devant ma fille. Elle en fait des cauchemars.