NOM ϟ wildworth-blythe. PRÉNOM(S) ϟ ashleigh. ÂGE ϟ 23 ans. DATE DE NAISSANCE ϟ 12 avril 1988. LIEU DE NAISSANCE ϟ londres. ÉTUDES/MÉTIER ϟ mannequin. STATUT SOCIAL ϟ célibataire. AVATAR ϟ rosie huntington-whiteley. CRÉDIT ϟ manhattan.

DRÔLE ❀ JALOUSE ❀ PROTÉCTRICE ❀ SENSIBLE ❀ DEJANTÉE ❀ HYPOCRITE

sa devise est : plaire à tout le monde c'est plaire à n'importe qui. - elle se promène souvent toute nue à la maison. - elle a deux énormes bullmastiff de 2 ans. - elle est complètement folle. elle trouve toujours quelques choses de nouveau à faire tous les jours. - elle déteste la solitude et ne peut pas se retrouver une heure seule. - elle fume un paquet de cigarettes par jour malgré qu'elle ait déjà essayé tant bien que mal d'arrêter. il lui arrive même de se droguer. - elle ne pas se passer de musique, n'imagine même pas vivre sans musique. - elle tient beaucoup à ses cheveux et les recoiffe pas moins d'une dizaine de fois dans la journée. - elle a différentes manies, comme se mordre la lèvres ou s'amuser avec sa bouche quand elle est gênée ou en situation ennuyante. - malgré ce qu'on pourrait croire, elle n'a pas eu beaucoup de petits-amis mais énormément de conquêtes d'un soir. - elle se respecte plus qu'elle ne respecte les autres.

PSEUDO ϟ lyleeblue. PRÉNOM(S) ϟ cory. ÂGE ϟ 15 ans. FUSEAU HORAIRE ϟ FR. OU AS TU TROUVE LE FORUM ϟ mon très tendre lennon-keith :heart: PRÉSENCE ϟ 7/7j. TON AVIS ϟ très beau forum, j'adore, ze suis amoureuse. CRÉDIT ϟ tumblr.

« Foutez-moi la paix, laissez-moi tranquille! Vous servez à rien! Non, mais vous me prenez pour qui? » De quelle jolie bouche pouvaient bien provenir ces mots d'une douceur extrême et à qui s'adressaient-ils? J'ai un prénom et nom de famille typiquement anglais mais j'ai pourtant vécu toute mon enfance aux States. En vérité, les déménagement, cela me connaît : je suis née à Londres, mais dès ma naissance j'ai déménagé dans l'État du Wisconsin jusqu'à mes 9 ans. Après ces longues années, nous avons emménagé à Stone Harbor jusqu'à mes 17 ans avant de décamper plus loin dans le New Jersey. Je suis la pure production d'une partie de jambes en l'air lors d'une soirée bourgoise trop arrosée entre une brésilo-irlandaise de 18 ans défoncée à l'héroïne, et d'un anglais soûl de 25 ans. Autant dire que je n'ai as été "voulue", que je ne suis, je cite "qu'un accident". Vous devinez à qui je parlais, maintenant? Mes parents, bien sûr. Pourtant, ça n'a pas toujours été comme ça, avant. Jadis (oui, je me permets de dire jadis car cette période m'a l'air si lointaine, maintenant), j'étais la petite fille chérie à ses parents, le genre de fille pourrie-gâtée qui m'insupporte aujourd'hui. Tout ce que je voulais, je l'obtenais, et je ne parle pas seulement de jouets foireux qui servent autant que mes parents (cf: première phrase. Vous comprendrez). Je parle de voitures, de maison, je me rappelle même avoir hérité d'un bâteau, avec lequel je n'avais jamais navigué d'ailleurs. Il me suffisait de claquer des doigts et ce que je désirais se trouvait sous mon nez. Aujourd'hui ? Que dalle. « Vitória, t'aurais pas quelques billets pour moi ? » « Va te faire foutre ! ». C'est tellement beau une relation mère-fille. Car oui, Vitória est ma mère. N'allez pas croire que je l'appelle "Maman", ce mot est définitivement banni de mon vocabulaire depuis quelques années. Pour moi, elle est Vitória Alves mariée Wilworth-Blythe, une femme irresponsable qui trompe son mari en échange de d'argent, ces quelques morceaux de papier verts. Elle ne vit certainement que pour ça. Elle m'envoie au diable quand je lui demande un peu d'argent, alors que je sais très bien qu'elle est pleine aux as. Seulement, elle est un peu comme moi aujourd'hui : beaucoup trop égoïste pour partager quoique ce soit. Et mon père, lui, il est 100 fois pire. À lui, je ne lui adresse plus la parole du tout. Il est devenu invisible, un inconnu à mon égard contrairement à Vitória que je considère plutôt comme une ennemie. Horrible sont les mots que je peux utiliser pour parler de notre complicité, choquant peut-être, pourtant, elle n'est pas plus grande qu'un grain de sable dans mon estime. Et vous vous demandez pourquoi est-ce qu'on se comporte comme ceci les uns envers les autres? Eh bien, pour une fois je n'y suis pour rien... Je plaisante, bien sûr que c'est un peu de ma faute. Enfant, j'étais comme qui dirait une sale gosse. Capricieuse, agressive... J'étais le reflet contraire de la personne que je suis aujourd'hui. Et c'est ce caractère qu'ils n'arrivaient plus supporter. À vrai dire, à ma naissance ils ne m'appréciaient déjà pas car comme je l'ai dit plus haut, je n'étais pas censée venir au monde. Ma mère me répète toujours: « Si j'avais sû que j'allais avoir affaire à une gosse comme toi, j'aurais serré les jambes à mon accouchement. », et c'est dans la foulé que je lui réponds si gentiment : « Serre ce que tu veux, mais ferme-là. »
Heureusement qu'à mes 18 ans j'ai pu fuguer de la maison. Je ne pouvais plus supporter toutes ces engueulades quotidiennes avec eux, bien que d'habitude, j'adorais les disputes. Trop, c'était trop. Une nuit alors qu'ils étaient encore sortis, j'ai décidé de faire mes affaires. J'ai tout descendu dans ma voiture, puis j'ai laissé un petit mot sur le comptoir de la cuisine: « Je ne vous manquerais pas. M*rde à vous. Votre tendre fille chérie. » Cela voulait tout dire, et ils l'avaient bien compris. Vous croyez qu'ils m'auraient cherché ? Non, pas du tout. Pour eux, j'étais morte à leurs yeux. Génial, on avait pu trouver un terrain d'entente alors car à mes yeux ils n'existaient plus non plus. Ne pensez pas que j'ai souffert de cette séparation. En aucun cas je me permetterai de souffrir pour deux imbéciles. Car, arrivée à Stone Harbor pour la seconde fois, je m'en suis très bien sortie. Aujourd'hui, je suis une jeune mannequin de 23 ans, connue et convoitée, aisée, et qui profite de la vie.
Ah et au fait, mon nom c'est Ash Wilworth-Blythe. Mais appelez-moi Perfection.